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L'histoire
de l'association

Je m’appelle Hadrien AIZPURU. J’ai été récemment touché par le décès de ma maman. A cette occasion, nous avons éprouvé le besoin en famille, de planter un arbre pour commémorer sa mémoire. Nous avons donc planté un cerisier.

 

Le projet ECOTEM découle directement de cette expérience et d’un constat personnel : celui d’une absence d’appropriation culturelle dans notre rapport à la nature.

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La biodiversité est souvent appréhendée dans sa dimension technique et scientifique. Cette grille de lecture génère un rapport distancié puisque l’on fait de la nature un objet d’étude. Le niveau d’expertise qui entoure cette dimension technique rend pour le moins délicate son appropriation par la société civile.

 

Il est également possible d’appréhender la biodiversité dans sa dimension affective : l’acte de plantation génère alors une lecture symbolique et commémorative. En établissant un lien direct avec chaque existence, chaque parcours de vie, cette grille de lecture débouche sur une forme d’appropriation culturelle du rapport à la nature : c’est désormais une histoire qu’il devient possible de partager avec la biodiversité.

 

La dimension affective créé un LIEN et favorise la reconnexion Humanité-Biodiversité.

Dimension technique et

dimension affective

Un enjeu de société

Les investigations et enquêtes de terrain font ressortir différents éléments qui convergent  vers un seul et même enseignement : le recours à des initiatives personnelles et "artisanales" de plantations commémoratives (essentiellement pour des décès et/ou pour des naissances), la montée en puissance des velléités éco-responsables, tout secteur d’activité confondu (funérailles comprises), ou encore l’engouement croissant pour les activités bien-être et les outils du développement personnel (ces disciplines ayant toutes pour dénominateur commun un même rapport éveillé et conscient à la nature) ; tous ces éléments traduisent un même besoin de nature et une conscience de plus en plus marquée des inter-relations Humanité-Biodiversité.

Dans le cadre du désormais célèbre Millenium Ecosystem Assessment (MEA_2005), les experts mandatés par les Nations-Unies vont jusqu'à identifier la « valeur spirituelle » de la biodiversité comme faisant partie intégrante des services dits culturels rendus par les écosystèmes aux sociétés humaines.

 

Il s’agit là d’un véritable enjeu de société appréhendé, pour l’heure, de manière confuse et disparate par une pluralité d’acteurs en concurrence plus ou moins directe. Il manque dans ce contexte un projet global et structurant, un modèle de valorisation culturelle de la biodiversité construit PAR et POUR la société civile.

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L'association

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Pour répondre à cet enjeu de société, créer les conditions d’une appropriation culturelle et interagir efficacement avec le secteur public, le projet Ecotem repose sur un format associatif.

Ecotem

Néologisme entre « écosystème » et «Totem »

Espace naturel de commémoration et de reconnexion-nature

Nom du projet de société porté par l'association

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